454 pages
French language
Published May 25, 1987
Byzantine and claustrophobic novel of a man arrested by the secret police and charged with an unspecified crime. Unable to defend himself and disorientated by the legal process at work around him the man soon becomes apathetic and acquiescent, accepting his eventual sentence as inevitable.
A very interesting story about a man fighting against what would be best described as a dictatorship with no dictator. Kafka takes the reader on a journey through a maze of ever increasingly absurd bureaucracy as our protagonist and we the reader try to find reason in the madness.
This novel was a joy to read. This labyrinth of relativising statements which grind down each others content until nothing is actually said is a timeless comment on bureaucracy and capitalist alienation in general.
That was disappointing. Too dense, too random and K is such an annoyingly obnoxious character that, by the second chapter, I was wishing they'd just lock him up and throw away the key.
The story can be read as a warning against the banal bureaucracy ot totalitarianism, but these themes have been much better handled by subsequent writers.
Une mise en abîme d'une absurdité administrative de haut vol. Du jour au lendemain Josef K. se retrouve accusé d'une faute dont il ne sait même pas la contenance et confronté un procès qui s'enfonce à chaque pas de plus en plus dans l'absurde.
On sent dans tout le récit l'impuissance terrible d'un homme pris dans une machine administrative monstrueuse dont il ne peut appréhender absolument rien. Au travers du récit, on peut entrevoir une critique de beaucoup de systèmes politiques totalitaires, capables de soudainement priver un homme de toute liberté sans jamais avoir à se justifier, mais aussi une métaphore parfois religieuse d'un homme coincé dans un Purgatoire à chercher en vain une faute qu'il n'a pas commise. Mais aussi une ironie cinglante destinée aux pontes enjolivant le vide de grands mots et d'immenses tournures pour faire croire à la contenance et à leur propre importance.
Ou simplement une …
Une mise en abîme d'une absurdité administrative de haut vol. Du jour au lendemain Josef K. se retrouve accusé d'une faute dont il ne sait même pas la contenance et confronté un procès qui s'enfonce à chaque pas de plus en plus dans l'absurde.
On sent dans tout le récit l'impuissance terrible d'un homme pris dans une machine administrative monstrueuse dont il ne peut appréhender absolument rien. Au travers du récit, on peut entrevoir une critique de beaucoup de systèmes politiques totalitaires, capables de soudainement priver un homme de toute liberté sans jamais avoir à se justifier, mais aussi une métaphore parfois religieuse d'un homme coincé dans un Purgatoire à chercher en vain une faute qu'il n'a pas commise. Mais aussi une ironie cinglante destinée aux pontes enjolivant le vide de grands mots et d'immenses tournures pour faire croire à la contenance et à leur propre importance.
Ou simplement une démonstration par l'absurde de la violence de certaines administrations ne fonctionnant que pour et par elles mêmes, totalement indifférentes au sort des innocents pris dans leurs rouages.
